JustineF a écrit
@Celibatman : j'aime beaucoup ton histoire, mais la tournure de la dernière phrase me gène un peu.
Pourquoi passes-tu à une visoin subjective de la scène ? pourquoi ne pas continuer à la décrire avec les yeux des deux types ? (une formulation avec "leurs corps" ou "eux-même" serait mieux-venue que "les deux protagonistes", non ?)
En effet Je vais modifier ça. En réalité, c'est une idée d'histoire que j'ai eu hier, et cette scène n'en était que le début.
23 novembre 2007 à 16:19
Conikafik a écrit
Spoiler : afficher/masquerjessica n'en pouvait plus. c'était trop. Quand elle relu le texte, ce "dans" fut la goutte d'eau qui mis le feu aux poudres. Elle se leva, saisi son clavier et se dirigea vers le bureau des testeur. Capitaine Obvious ne la vit pas venir. Les inspecteurs relevèrent sur ce qui restait de la tête du testeur 257 coups de clavier et le légiste retrouva dans les restes du cerveau (minuscule au demeurant) les lettres d, 4, e et n.
excellent !! :)
23 novembre 2007 à 16:28
  Sachant qu'il ne me reste plus que 4 lignes pour sauver Michel, j'ai décidé de ne plus écrire.
D'autant que j'en ai déjà perdu une pour le dire.
Enfin... trois maintenant.
Héhé ! Je ne me suis pas fait avoir à dire "deux" !
Faut pas me prendre pour un con.
Et merde...
23 novembre 2007 à 16:44
  En s'extirpant d'un songe bien trop court, Daniel Legrand ignorait qu'un bien plus long sommeil l'attendait.
Si Daniel Legrand avait su que son café était le dernier, il se serait appliqué à ce qu'il soit bien moins fade.
Il faisait bien trop sombre pour le dernier jour de Daniel Legrand. De toute façon Daniel n'a jamais été très matinal.
La nuit avait été bien trop courte pour le café bien trop fade et les paupières bien trop lourdes de Daniel Legrand. 
Le camion était bien trop gros pour la 205 de Daniel Legrand. De toute façon Daniel dormait déjà, trop c'est trop.
Dernière modification le 24/11/07 à 01:08 par Swan
24 novembre 2007 à 01:04
Haha Hohun, merci pour l'hommage. Même si j'ai pas besoin d'une bouteille de kro ou d'une tour de contrôle pour me vautrer lamentablement à l'atterrissage :)
24 novembre 2007 à 08:11
Il faut bien te trouver des excuses.
24 novembre 2007 à 14:18
  Pinaise, z'avez pas chômé côté création. Excellent :D
Par contre, c'est vrai que les balises sont hyper gênantes.
25 novembre 2007 à 23:51
  Y'aurait-il un moyen de répertorier vos histoires ?
(Y'a vraiment du très très bon, bravo).
26 novembre 2007 à 00:01
Si ta question est de savoir si on te cède les droit d'auteur, de mon côté, pas de problème ! :)
26 novembre 2007 à 00:07
  héhé, non, c'est pas le but. Mais merci pour le don. Suis plutôt partisan de l'idée libre de droits ;) 
Je songeais plutôt à créer une page quelque part avec toutes les idées qui émergeront du topic (en rendant toujours à César ce qui lui appartient: à toi, à lui, à lui, à elle, à lui, à moi, à lui, à nous, quoi).
26 novembre 2007 à 00:39
  Copie/colle chaque spoiler dans ton premier post en edit.
De rien.
Bon courage.
26 novembre 2007 à 09:13
  Dablouf le flanby, derrière la bouteille de lait planqué,
espérait que personne ne le verrait faire ses bagages.
Maître CKK, par l'odeur alléché, lui tint à peu près ce langage :
"Ho là, sieur à la cape caramélisée,
si votre nappage se rapporte à mon plumage,
vous êtes le phénix des hôtes de ces bois !
Accompagnez-moi céans, soyez mon auguste compagnon."
Ainsi Dablouf, languette relevée,
pensa, avant de se faire gober,
"Ciel ! Que n'ai-je vécu pour ce moment parfait, après tout,
on n'a pas tous la chance de mourir en se faisant sucer !"
26 novembre 2007 à 09:49
OMG, magnifique. J'ai toujours aimé les histoires avec des personnages charismatiques.
26 novembre 2007 à 09:52
Et gay.
26 novembre 2007 à 09:56
Ouais mais c'est toi qui a la languette relevée à cette idée :)
26 novembre 2007 à 15:34
  Oh... Qui n'a jamais sucé un pote ?
Ca veut pas forcément dire qu'on est pédé.
26 novembre 2007 à 15:40
Euh...si.
26 novembre 2007 à 15:47
Ok posons donc la question directement : tu as déjà sucé un pote, Swan ? Jusqu'au bout ?
26 novembre 2007 à 15:50
Attention : si tu refuses de répondre, tu devras aller montrer ton cul à ton proprio.
26 novembre 2007 à 15:59
  Jusqu'au bout c'est un truc de pédé, non mais t'as cru que j'étais gay moi ?
Est-ce que je te demande ce que tu fais avec tes copines ? Bon alors !
Tiens bah si je te demande.
Dernière modification le 26/11/07 à 16:05 par Swan
26 novembre 2007 à 16:02
Swan a écrit
Jusqu'au bout c'est un truc de pédé, non mais t'as cru que j'étais gay moi ?
IL L'A FAIT ! IL L'A FAIT !
Repie : t'as kekchose contre les gays pour sortir tes cartons rouges ?
Dernière modification le 26/11/07 à 16:12 par AmdC
26 novembre 2007 à 16:11
Bah non, vous êtes juste en train de pourrir le thread du poulpe stou. Vieille réac' :p
26 novembre 2007 à 16:13
  Un coming-out dans l'asile c'est la mort en moins de 5 lignes. Bande de gays refoulés !
Je ne vois pas en quoi on sort du sujet.
26 novembre 2007 à 16:43
  Spoiler : afficher/masquer
Je chevauchais tranquillement ma monture en haut de grandes dunes de sable quand nous tombâmes tous deux, roulant sur le flan de l'une d'elle.
En bas, y'avait toute une horde de zombies qui nous attendait. Ils se sont jetés sur nous, sans crier: "GARE !" mais hurlant: "GAYS ! GAYS ! GAYS !".
Grâce à ma puissante musculature adorée, je pus regravir le sommet de la dune, échappant à une mort certaine. Malheureusement, il ont réussi à choper mon bon vieux Troudballe (ndlr: le nom du cheval). Dans une situation de survie, faut croire que le sacrifice est obligatoire. Oui, obligatoire.
J'ai couru... couru loin, très loin, pour ne plus entendre ses hénissements de douleur. J'en avais les larmes zaux zyeux. Et je courus.
Quelques kilomètres plus tard, la fatigue aidant, je ralentis mon allure. J'avançais seul, en plein soleil, en plein désert, assoiffé, déshydraté par ma propre tristesse.
(Oui, j'avais aussi dû me débarasser de ma gourde en route).
Et c'est là, en pleine réflexion, que le drame s'est produit. Un grand choc derrière le crâne. La douleur comme un coup de foudre. Tout devient embrouillé autour de moi. Je parviens à me retourner, et là, je vois mon Troudballe, zombifié, les chairs pendantes et sanguinolentes. Les yeux vides. Hénissant "GAYYYYY !!!" tout en me frappant de ses puissants sabots.
Je crois que Troudballe m'en voulais de l'avoir abandonné à ce sort. Comme il est super rancunier, je veux être sûr qu'il ne va pas venir me chercher ici."
Saint Pierre: "Vous ne craignez rien, monsieur 1. N'ayant pas d'âme, les animaux ne peuvent accéder au paradis".
Il montre alors un panneau prouvant l'interdiction des animaux de compagnie."
Rassurant, Saint Pierre sourit à Rhum 1.
C'est alors qu'une merde le heurte en plein front et lui tapisse le visage.
Beuglant dans la langue de Dieu, Saint-Pierre brandit un poing rageur au ciel: "Putain de saloperie de conneries d'anges ! Si j'avais un flingue..."
26 novembre 2007 à 19:07
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