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Accéder facilement à un CVS sous windows

article de Ceacy , publié le 10 février 2006 à 00:28
CVS, alias Concurrent Versioning System, est un logiciel libre très utilisé dans le milieu du développement collaboratif : en effet, il permet à une équipe de programmeurs de travailler de concert sur un code source, sans risque que l'un d'entre eux écrase par mégarde le travail effectué par un autre, comme ce pourrait être le cas par FTP : chaque fichier source se voit en effet attribué un numéro de version, incrémenté à chaque modification par un développeur.

Pour plus d'informations sur le fonctionnement pratique de CVS, je vous encourage à lire cet article sur Wikipédia.

CVS est très utile, même si vous n'envisagez pas de contribuer directement au développement d'un projet, car il permet de récupérer aisément la version la plus récente d'un logiciel (généralement un logiciel libre), afin de le compiler et de bénéficier ainsi de ses dernières améliorations. En effet, la plupart des serveurs CVS fournissent un accès anonyme, permettant de récupérer les sources, mais non de les modifier - c'est le cas que nous verrons ici.

Cet article décrit en effet comment récupérer les sources depuis un serveur CVS, sous Windows, à l'aide d'un utilitaire nommé TortoiseCVS. Tout d'abord, il vous faut connaître l'adresse du serveur CVS, et le nom du module que vous souhaitez récupérer. Par exemple, pour amsn, l'adresse est :
"pserver:anonymous@cvs.sourceforge.net:/cvsroot/amsn" et le nom de module "msn".
CVS, alias Concurrent Versioning System, est un logiciel libre très utilisé dans le milieu du développement collaboratif : en effet, il permet à une équipe de programmeurs de travailler de concert sur un code source, sans risque que l'un d'entre eux écrase par mégarde le travail effectué par un autre, comme ce pourrait être le cas par FTP : chaque fichier source se voit en effet attribué un numéro de version, incrémenté à chaque modification par un développeur.
Pour plus d'informations sur le fonctionnement pratique de CVS, je vous encourage à lire cet article sur Wikipédia.

CVS est très utile, même si vous n'envisagez pas de contribuer directement au développement d'un projet, car il permet de récupérer aisément la version la plus récente d'un logiciel (généralement un logiciel libre), afin de le compiler et de bénéficier ainsi de ses dernières améliorations. En effet, la plupart des serveurs CVS fournissent un accès anonyme, permettant de récupérer les sources, mais non de les modifier - c'est le cas que nous verrons ici.

Cet article décrit en effet comment récupérer les sources depuis un serveur CVS, sous Windows, à l'aide d'un utilitaire nommé TortoiseCVS. Tout d'abord, il vous faut connaître l'adresse du serveur CVS, et le nom du module que vous souhaitez récupérer. Par exemple, pour amsn, l'adresse est "pserver:anonymous@cvs.sourceforge.net:/cvsroot/amsn" et le nom de module "msn".


1. Télécharger TortoiseCVS et l'installer.
Vous risquez de devoir redémarrer votre ordinateur pour que l'installation soit complète, vue que TortoiseCVS s'intègre dans l'explorateur de Windows.

2. Créer un dossier quelque part dans votre disque dur, juste histoire de centraliser quelque part les sources. Sinon, ça devient vite le bazar, et on finit totalement disjoncté dans un asile. Oups, pardon.
Ensuite, allez dedans, faites un clic droit : de nouvelles options sont apparues, comme par exemple "CVS Emprunter" (ou "CVS checkout", si vous êtes un vrai, un pur, et que vous n'avez pas choisi la langue française comme tous les autres n00bz).
Screenshot

3. Remplissez les deux champs obligatoires
(oui, il y a plein de boîtes de texte, mais seules deux sont nécessaires, les autres se remplissent en conséquence)
:
CVSROOT : :pserver:anonymous@cvs.sourceforge.net:/cvsroot/samoth (par exemple, et sans vouloir faire de pub outrancière)
Module : <le module que vous voulez>
Puis cliquez sur OK : TortoiseCVS va gentiment récupérer le code source du module que vous avez choisi.
Screenshot
Screenshot

4. Une fois que c'est fini, vous avez le code source, ce qui va vous permettre de briller dans les soirées mondaines que vous ne manquerez pas de fréquenter grâce à votre nouveau talent
article de Ceacy — publié le 10 février 2006 à 00:28
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# 22:25:52
(plantmann) Sinon depuis quelques jours, j'ai attaqué X-com 2 : ben j'aime bien. Il est dur, mais pas injuste, et il est facile à prendre en main.
# 22:24:24
(plantmann) J'ai lâché à la mission dans le quartier englouti, on basculait trop de l'infiltration à l'action à mon goût (et moi j'aime surtout le côté "puzzle" de l'infiltration)
# 22:23:39
(plantmann) J'ai pas joué à Thief (j'en avais pourtant entendu plutôt du bien, mais il date effectivement) mais Dishonored m'a beaucoup plu, même si je ne l'ai pas fini
# 14:51:37
(Akshell) ça ne marche pas du tout.
# 14:51:27
(Akshell) ils ont voulu créer un "body awareness", le mouvement effectué s'adapte à la positon du perso, mais ce n'est pas très bien géré, tu te mets à couvert quand tu veux dash dans une ombre, tu te retrouve bloqué quand tu veux sauter dans le vide.
# 12:01:49
(hohun) 10:58:21 j'y ai joué récemment, et je l'ai lâché en cours de route, c'était pas mauvais mais passé les premières visites dans le monde on se lasse. C'était bizarrement lourdingue
# 10:58:21
(Akshell) J'ai commencé Thief, que j'avais préacheté en collector en 2014... bah, ouais la série était déjà morte totalement tuée par Dishonnored qui l'éclate sur tous les points.
# 20:09:11
(hohun) le club des boomers
# 19:49:41
(hohun) en parlant de 10 ans de retard, je viens juste de me mettre à divinity original sin...
# 19:37:47
(plantmann) Sinon en ce moment, je joue (avec 10 ans de retard, comme d'habitude) à Ori and the blind forest, ben je vous le conseille, c'est un très bon plateforme, avec plein d'option de mouvement sympa qui le rende très dynamique, et la DA est superbe
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